• Chapitre 16

     

    La laissant aller s’installer, il repartit à son bureau où Orleth ne tarda pas à s’annoncer pour venir récupérer la théière comme à son habitue. Adossait à son fauteuil, se massant la tempe, il l’autorisa à entrer.

     

    Orleth : « Il y a-t-il un problème mon seigneur ? »

    Thranduil : « Griel vient de revenir »

     

    Grimaça-t-il en lâchant sa tempe »

     

    Thranduil : « Elle restera ce soir »

    Orleth : « Bien »

     

    Il la vit hésiter avant de ramasser et se redresser.

     

    Thranduil : « Vous souhaitiez me parler ? »

    Orleth : « Ce ne semble pas être le moment »

    Thranduil : « Si ce n’est au sujet de Griel, je peux l’entendre »

    Orleth : « C’est au sujet d’Hina, mon seigneur »

     

    Il se crispa et elle se pinça les lèvres, se disant qu’elle n’aurait pas du. Mais le roi n’allait pas revenir sur ce qu’il venait de dire.

     

    Thranduil : « Qu’a-t-elle fait ? »

    Orleth : « Rien, mon seigneur, on se posait juste une question »

    Thranduil : « Je vous écoutes »

     

    Dit-il en tournant son regard vers elle.

     

    Orleth : « Reste-t-elle ? »

    Thranduil : « Comment ça ? »

    Orleth : « Nous pensions au début qu’elle repartirait dans son monde, puis nous avons apprit qu’elle était une âme égaré et comme vous sembliez prompt à ce qu’elle parte, on se demande ce qu’il en est »

     

    Etrangement, il ne se sentit pas s’énerver. Les propos de son fils concernant son influence sur le comportement des siens lui revient. S’étaient-ils montré froid parce qu’il l’était aussi ?

     

    Thranduil : « Voulez vous qu’elle parte ? »

    Orleth : « Moi non mon seigneur »

     

    Sa réponse vive lui fit hausser un sourcil.

     

    Orleth : « C’est quelqu’un de bien et attentionnée »

    Thranduil : « Alors pourquoi me demander »

    Orleth : « Beaucoup se demande la place qu’ils doivent lui accorder »

     

    Ils ne voulaient s’attacher si elle devait partir ?

     

    Thranduil : « Certains se seraient-ils montré insultant ? »

     

    Elle abaissa aussitôt le visage, le crispant.

     

    Thranduil : « Répondez-moi »

    Orleth : « Oui… »

    Thranduil : « Devant-elle ? En langue commune ? »

    Orleth : « Non, en sindarin »

     

    Il soupira comme rassuré.

     

    Thranduil : « Dites leur que pour le moment, il n’est pas question qu’elle s’en aille »

    Orleth : « Bien mon seigneur »

     

    Elle s’apprêta à sortir, mais il l’interpella.

     

    Thranduil : « Sont-ils prêts à l’accepter ? »

    Orleth : « Oui mon seigneur, je crois qu’il n’attende que ça pour la plus part »

    Thranduil : « Et les autres ? »

    Orleth : « De la jalousie. Elle a quelque chose de particulier »

     

    De particulier ? Il abaissa le regard sur son bureau.

     

    Thranduil : « Bien, vous pouvez y aller »

     

    De son côté, Legolas marchait avec Gimli.

     

    Legolas : « Si on allait voir Hina à son jardin ? »

    Gimli : « Volontiers »

     

    Gimli ne lui avait pas encore dit qu’elle comptait partir une fois que ces plantations serait en fleure. Marchant dans les couloirs pour sortir du palais, ils eurent la surprise de tomber sur Griel, souriante. Ne comprenant pas ce qu’elle faisait là, c’est surtout de la voir venir droit vers eux qui les rendit nerveux.

     

    Griel : « Prince Legolas, maitre Gimli »

     

    Ils inclinèrent leurs têtes pour la saluer.

     

    Griel : « Nous n’avons pas eu l’occasion de vraiment échanger et d’apprendre à nous connaitre »

     

    Voilà comment tous trois durent tenir compagnie à l’elfine durant cette journée et épargner sa présence au roi. Mais celui-ci du finir par se montrer, notamment le soir, autour de la table pour le repas. C’est alors que Griel proposa qu’Hina se joignent à eux. Cette remarque étonna Legolas mais il vit là l’occasion pour que l’elfine se retrouve autour de leur table. Croisant le regard de son père, Thranduil tourna le visage pour faire signe à ses capitaines.

     

    C’est Eresrian qui y alla. Se rendant dans ce bois où elle se trouvait encore pour jardiner, il vit ce cheval qu’il connaissait bien être autour d’elle, la faisant sursauter et soupirer en marchant sur ce qu’elle venait de faire. Alors elle s’approchait de lui pour le mettre là où il pouvait et il lui donna un petit coup de museau pour avoir de l’attention.

     

    D’abord surprit, Eresrian se sentit touché par la scène. S’approchant, le cheval trahit sa présence en relevant la tête et pointant les oreilles vers lui. Hina se tourna alors et se raidit en voyant le capitaine.

     

    Eresrian : « Vous êtes demandé à la table du roi »

     

    Supposant qu’elle n’avait pas le choix, elle soupira et le suivit vers le palais.

     

    Eresrian : « Je ne vous déteste pas »

     

    Elle s’arrêta net et le fixa alors qu’il venait de poser son attention sur elle.

     

    Eresrian : « Mais vous me rappelez quelqu’un qui m’est cher »

     

    Ne voulant pas s’étendre plus, il se remit en marche. Elle ne chercha pas à le questionner, se disant que même si c’était un peu plus claire, ça ne justifiait pas tout et encore moins ce moment. Elle fit un détour dans sa chambre pour se laver les mains et se débarbouiller le visage puis se montra dans le salon.

     

    Eresrian retourna aux côtés de Feren et Hina s’approcha de la table. Elle vit la place qui venait de lui être dresser mais elle ne s’assit pas.

     

    Hina : « Vous m’avez demandé ? »

     

    Thranduil ne l’observant pas, elle posa son attention vers Legolas qui tourna les yeux vers Griel qui arriva un grand sourire.

     

    Griel : « Oui, c’est moi. »

    Hina : « Pourquoi ? »

    Griel : « J’avais envie que vous soyez avec nous »

    Hina : « Je ne suis pas sûre d’y avoir ma place.

    Griel : « Mais si puisque je vous y invite »

     

    Hina commençait à bouillir intérieurement mais ne le montra.

     

    Hina : « Je risquerais d’être impolie »

    Griel : « J’insiste. Une humaine, ici, chez nous, c’est quelque peu troublant et amusant. Cela me permettrait d’en apprendre un peu plus sur vous. »

    Thranduil : « Assoyez-vous »

     

    Elle tourna brièvement son regard vers le roi. Elle savait pertinemment ce qu’elle allait faire, elle savait que ça ne se faisait pas. Mais elle les avait prévenu qu’elle serait impolie.

     

    Hina : « Puisque le roi me permet »

     

    Elle se pencha, saisit la coupe de vin du roi et envoya le contenu sur le visage de l’elfine.

     

    Hina : « Je ne suis pas un animal de foire. Bonne soirée »

     

    Sur ses mots, elle reposa sèchement la coupe de vin vide sur la table et tourna les talons pour retourner à son jardin. Pestant, ruminant, elle sentait que ça devenait de trop pour elle.

     

    Un silence des plus lourds venait de prendre place dans le salon.

     

    Griel : « Roi Thranduil ! »

    Thranduil : « Elle avait prévenu qu’elle allait devenir impolie »

    Griel : « Comment pouvez cautionner ce genre de comportement ?! »

    Thranduil : « Vous devriez aller vous rincer et vous changer »

     

    Dit-il calmement pour ne pas être venimeux à son égard. L’elfine se leva, quittant le salon avec une suivante. Gimli se mit à pouffer, ne pouvant plus se tenir. Thranduil leva son regard vers son lui et son fils qui semblait aussi amusé mais tentait de se retenir de rire. Feren s’approcha doucement.

     

    Feren : « Mon seigneur, dois-je allé la chercher ? »

    Thranduil : « Non, je m’en occuperais moi-même demain »

     

    Il ne pouvait nier qu’intérieurement, il était satisfait de son geste. Mais Griel était une noble, il ne pouvait donc pas non plus ne rien faire. Songeant aviser le lendemain, il observa Orleth revenir lui remplir de nouveau sa coupe de vin. Mais lorsque ses doigts voulurent la reprendre, un frisson le longea et il recula brusquement le bras.

     

    Thranduil : « Changez la coupe »

     

    Orleth s’exécuta rapidement, alors qu’il sentait son cœur battre rapidement, ne comprenant pas cette réaction. Lui était-elle insupportable à ce point ? Griel ne se fit heureusement pas désirer longtemps et le repas put débuter et il ne tarda pas à rejoindre ses appartements.

     

    Il s’éveilla aux premiers rayons et eut l’impression de dormir de façon profonde et réparatrice. Voilà chose peu commune depuis longtemps. Il alla se rafraichir puis se préparer. Finissant de fermer sa tunique, se tenant devant l’ouverture de sa chambre, il aperçu Hina se diriger vers le bois. Se rappelant d’abord de leur légère altercation, puis de ce qu’elle avait fait à Griel, il réentendit les propos de sa gouvernante qui semblait dire que les siens attendaient son feu vert pour laisser une place à cette elfine.

     

    Quittant ses appartements, croisant Eresrian et Feren qui venaient pour prendre leur poste, il leur demanda de faire préparer la monture de Griel.

     

    Il eut à peine le temps de se diriger vers son bureau qu’il vit justement l’elfine venir vers lui, souriante. Depuis quand était-elle si matinale ?

     

    Griel : « Je me suis levée un peu plus tôt pour profiter de la quiétude du matin avec vous »

    Thranduil : « Je dois travailler, j’ai fait préparer votre monture »

    Griel : « Ma monture ? Pour ? »

    Thranduil : « Reprendre la route »

    Griel : « Je songeais rester plus »

    Thranduil : « Le seigneur Cirdan vous attend »

    Griel : « Vous avez raison, il doit être inquiet… Bien, alors je vous laisse roi Thranduil et je vous dis à bientôt »

    Thranduil : « A bientôt ? »

    Griel : « Oui, pour que nous puissions échanger et nous balader. Passer du temps en votre compagnie »

    Thranduil : « Vous pouvez vous en passer. Vous m’excuserez, j’ai du travail »

     

    Il la contourna et partit à son bureau. Sa brusquerie fit apparaitre un air contrarié sur le visage l’elfine qui, une fois rejoint par ses suivantes, quitta le palais.

     

    Thranduil, derrière son bureau, parcourait son courrier distraitement, attendant qu’enfin un de ses capitaines vienne lui annoncer le départ de cette idiote. Ce qui ne tarda pas. Resongeant qu’il devait aussi parler avec Hina, il se leva et quitta son bureau pour se diriger vers le bois. Il était tôt, pourtant elle était déjà debout. Mais il eut à peine le temps s’approcher des barrières du près, qu’elle arriva elle aussi, elle revenait pour reposer les outils et attraper les graines et bulbes qui lui manquait.

     

    Elle le vit bien sûr de loin venir vers elle, encadré par ses capitaines et sut qu’il viendrait la réprimander. Elle se dirigea tout de même vers le bâtiment pour ranger soigneusement les outils avant de l’entendre entrer.

     

    Thranduil : « Il nous faut parler de ce qui c’est passé hier soir »

     

    Elle arrêta de s’agiter, soupirant doucement et se tournant vers lui qui détourna une nouvelle fois le regard.

     

    Hina : « J’avais prévenu »

    Thranduil : « C’est non seulement une noble mais une invité. Vous n’auriez jamais du avoir un tel geste ! »

    Hina : « Ne comptez pas sur moi pour aller m’excuser »

     

    Grimaça-t-elle en se tournant vers l’étagère où étaient entreposées les graines. Cela permit à Thranduil de reposer son attention sur elle.

     

    Thranduil : « Oh non, je n’ai pas oublié que vous n’avez aucune éducation ! »

    Hina : « Bien alors qu’attendez-vous de moi ?! Rien ! Que pourriez vous attendre de plus d’une humaine »

    Thranduil : « Strictement rien ! Pour une fois que vous dites quelque chose de sensé je ne vais pas le nier ! »

     

    Pourquoi ne pouvait-il pas supporter de la fixer mais ne pas sentir son attention sur lui l’énerver encore plus ?

     

    Hina : « Votre charmante âme-sœur est partit pour que vous soyez de nouveau aussi insupportable ?! »

     

    Il la haïssait de le faire sentir coupable de ne pas être plus direct face à cette elfine

     

    Thranduil : « De quel droit osez vous me parler de la sorte ?! »

     

    Elle serra les dents.

     

    Hina : « Du même droit que vous vous comportez avec moi »

     

    Son ton était redescendu et elle s’approcha de lui dont les muscles de sa mâchoire se raidissaient et il détourna l’attention. Encore.

     

    Hina : « REGARDEZ-MOI !! »

     

    C’était la première fois qu’elle haussait ainsi le son de sa voix. Surprit, il la fixa et plongea dans ce regard qu’il cherchait à fuir. Parce que c’était son regard. Ses yeux. Cette même intensité. Cette même sensation qui l’enveloppait. Il sentait son cœur battre de façon désordonnait, perdu. Par Varda, pourquoi lui ressemblait-elle tant ? Comment faisait-elle pour lui donner cette même impression ?! Ne supportant pas, il détourna le regard. 

     

    Hina : « Je vous répugne au point que vous n’arrivez même pas à me regarder dans les yeux… »

     

    Elle détourna à son tour le visage. Les poings serrés, elle inspira profondément.

     

    Thranduil : « Vous êtes irrespectueuse, arrogante, agaçante, entêté ! Votre voix m’insupporte, votre regard, vous. Vous tout entier vous m’insupporter ! Je vous haïs ! »

    Anna : « Alors il n’y a pas d’objection pour que j’aille le trouver »

    Thranduil : « Non ! Au contraire ! Cela me fera des vacances ! Partez donc ! »

    Hina : « Les vôtres aussi me déteste, j’en viens à me demander comment Legolas a put être aussi adorable avec moi. Ayez au moins l’amabilité de le saluer de ma part »

     

    Sur ses mots, elle passa à côté de lui, heurtant son épaule.

     

    L’entendant partir, sentant sa présence s’éloigner, le roi se mit à tremblé. Son souffle lui était difficile, sa gorge noué. Il tendit le bras pour se rattraper au mur et passa sa main libre sur son visage. Au bout de plusieurs longues secondes, après plusieurs profondes inspirations pour le calmer, il sortit à son tour de ce bâtiment et observa ses capitaines qui avaient prit un peu de distance pour les laisser échanger. S’en approchant, il inspira calmement pour que sa voix ne trahisse pas son émotion.

     

    Eresrian se risqua à l’observer directement, à poser son regard sur le sien, inquiet d’avoir vu Hina partir et de les avoir entendu se parler ainsi.

     

    Thranduil : « Vous l’avez vu, aussi, qu’elle a les même yeux ? »

     

    Comme réponse, il abaissa le visage. Il n’y avait pas que les yeux qui lui ressemblait, tout était proche sauf la chevelure. Mais son regard était le plus difficile pour le roi à affronter.

     

    Thranduil : « Veillez à ce qu’elle ne remette plus les pieds ici »

     

    Feren hocha légèrement de la tête mais Eresrian le fixa, visiblement surprit. Le roi lui regagna son bureau pour tenter de se calmer un instant.

     

    Un calme qui le saisit de par le silence. Mais qui ne dura pas. Bientôt Orleth arriva pour lui servir son thé et elle eut l’impression qu’il était troublé. Ne posant aucune question, elle quitta le bureau peu avant qu’il ne demande à Feren d’aller chercher son fils, si du moins il était levé. Ce qui était le cas. Feren le croisa un peu plus loin et lui signala que son père souhaitez lui parler.

     

    Legolas : « Est-ce cette Griel ? »

    Feren : « Non »

     

    Il sentait son capitaine particulièrement tendu alors il ne posa pas plus de question et vient rejoindre son père. Ce dernier resta quelques secondes silencieux, fixant son bureau, il finit par relever son regard vers son fils qui comprit que ce qu’il allait entendre n’allait guère lui père. Mais pourquoi son père semblait tant troublé ?

     

    Thranduil : « Elle est partie »

    Legolas : « Hina ? »

    Thranduil : « Hm »

    Legolas : « Pourquoi l’as-tu fait fuir ? »

    Thranduil : « C’était son choix »

    Legolas : « Tu l’as encore engueulé ? »

    Thranduil : « Elle me fait perdre patience ! »

    Legolas : « Personne ne peut te faire perdre patience ! Pas même cette Griel, Gimli ou moi ! »

    Thranduil : « Et bien elle réussit cet exploit ! »

     

    Jura-t-il en se levant soudainement. Legolas manqua de sursauter en voyant tant d’émotion dans le regard de son père qu’il en fut lui-même perdu. Il semblait si en furieux et en même temps blessé. Qu’avait-elle bien pu dire ou faire pour le mettre dans un tel état ? Tentant d’être un peu plus calme, il expira calmement

     

    Legolas : « Où est-elle partie ? »

    Thranduil : « Je ne tiens pas à ce que tu la revois »

     

    Dit-il en se rasseyant.

     

    Legolas : « Père, tu ne l’as tout de même pas tué ? »

    Thranduil : « Non, elle a prit la route »

     

    Il s’adossa à son fauteuil et soupira doucement. Il vit son fils abaisser le visage, visiblement touché. Les propos sur Legolas de la jeune femme lui revinrent.

     

    Thranduil : « Elle m’a demandé de te remercier pour ta gentillesse »

     

    Il hocha doucement de la tête, avant d’inspirer. Thranduil sentit sa poitrine s’alourdir en le sentant si ému, croisant de nouveau son regard.

     

    Legolas : « Quand tu seras qu’elle est arrivée, tu me préviendras ? »

     

    Hésitant, il se pinça les lèvres et acquiesça d’un bref mouvement de tête.

     

    Thranduil : « C’est entendu, je te préviendrais »

    Legolas : « Merci »

    Thranduil : « Legolas »

     

    Son fils s’arrêta et entendit son père s’approcher. Il posa sa main sur son épaule pour le faire pivoter et vient passer l’autre sur sa joue.

     

    Thranduil : « Mon fils »

     

    Il lui avait dis qu’il appréciait sa présence, qu’il s’était attaché à elle, mais il ne comprenait pas comment ça pouvait le toucher de la sorte. Le regard de son fils se ferma un instant alors qu’il appuya un peu plus sa joue contre sa main.

     

    Legolas : « Ca va aller, ne t’inquiète pas »

     

    Soupira-t-il calmement avant de lui adresser un sourire.

     

    Legolas : « Tu m’avais prévenu qu’elle devrait rejoindre les siens un jour ou l’autre »

    Thranduil : « Hm. Cela aidera sûrement son âme à refaire entièrement surface »

    Legolas : « Tu as raison. C’est une bonne chose pour elle »

     

    Quelque peu calmés, les deux elfes se séparèrent. Legolas allant prendre un thé dans la bibliothèque pour prévenir Gimli qui ne sembla guère surprit et qui lui expliqua cette petite discussion qu’il avait eue avec elle durant son absence.

     

     

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