• III Chapitre 9

     

    De ses propos, il avait fait la promesse de revenir le lendemain pour venir la faire sortir de l’existence de Drago. Mais après cette rencontre, ce n’est pas tellement énervé qu’il est rentré au manoir, c’était plus troublé. Alors dans son bureau, il se tenait devant sa fenêtre, observant son parc, les mains dans les poches. 

     

    Drago : « Je l’aime ! »

     

    Il pouvait le voir si hargneux. Le regard si vif. Il semblait si sûr de lui. L’aimait-il vraiment, sincèrement ?

     

    Lucius : « Aimer ?! Toi ?! Connais-tu au moins la signification de ce mot ?! »

    Drago : « Et toi ? »

     

    Un soupire tremblant lui échappa et il abaissa le visage.

     

    Lucius : « Malheureusement »

     

    Oui, il connaissait la signification de ce mot. De ce sentiment. Celui d’avoir trouvé cette personne que vous n’imaginez plus loin de vous. Qu’à peine au bout de quelques instants vous avez l’impression de toujours la connaitre, sans tout savoir d’elle. Cette sensation de plénitude d’être l’un contre l’autre. Cette jouissance de l’étreindre. Cette peur qui vous serre le creux du ventre, vous tord les boyaux quand quelque chose de mauvais se montre. La nervosité d’admettre qu’elle est capable de remettre en cause tout ce en quoi vous croyiez. Cette étrange appréhension mélangée à de la joie à l’idée de lui passer la bague au doigt et vous pavaner, fièrement, avec cette personne à côté.

     

    Il l’avait connu.

     

    Mais brièvement. Trop brièvement. Comme un rêve. Un rêve dont il a été sortit avec la torpeur d’un cauchemar. Cette sensation de sueur froide, le cœur prêt à exploser qui tambourine dans les tempes. Ce silence autour qui vous assomme et ce vide. Ce vide à l’intérieur que plus rien ne saura combler. Sauf peut-être la naissance d’un enfant. Un petit être, un petit bout de soit qu’en secret on imaginera être née d’une autre union.

     

    Un enfant qu’on aura peur d’aimer, à cause de cette même inquiétude qu’on le lui ôte comme on la lui avait enlevé. Brutalement. Elle n’avait eut le temps de lui apprendre comment aimer, comme consoler. Il ne savait que diriger, maitriser, exiger. Le seul schéma qu’il avait eut était celui de son propre père et n’avait su faire autrement. Il avait perdu le seule guide de sa vie. La seule personne qui savait le rassurer.

     

    Seul à son retour, son épouse n’eut pas l’occasion de voir son trouble. Alors quand ils se retrouvèrent autour de la table le soir, elle ne se montra guère délicate à remettre sur le tapis ce sujet de conversation qui semblait la ronger.

     

    Narcissa : « Tu as vu Drago ? »

     

    Il soupira lourdement et attrapa son verre pour boire doucement.

     

    Narcissa : « On ne va quand même pas le laisser continuer à voir cette… »

     

    Elle grimaça et imagina qu’elle du être assez écœurante pour lui en faire trembler les épaules.

     

    Lucius : « Je m’en occupe »

    Narcissa : « Merci »

     

    Alors le lendemain, il retourna dans cette maison à Londres. N’ayant réussit à dormir, il s’y montra à l’aube, toquant lourdement contre le bois du bout de sa canne.

     

    La nuit avait été aussi courte pour les deux amants qui redoutaient cette journée. Alors dans le salon, Drago se leva silencieusement du canapé et alla ouvrir. Son père ne daigna pas le saluer, entrant en le poussant du bout de sa canne. Il s’apprêta à lui demander si elle avait comprit et était partie, mais son regard balaya la salle et vit la jeune femme qui se levait du canapé, le regard sombre et menaçant.

     

    Lucius : « Vous n’avez donc pas comprit ce que je vous ai dis ? »

    Sarah : « Ce n’est pas vous qui allez me faire partir »

     

    Il sortit sa baguette de sa canne et avant qu’il ne la dirige vers cette insolente, son fils se mit devant elle.

     

    Lucius : « Pousses-toi »

    Drago : « Non »

     

    Enervé à l’idée de le blesser, il lui envoya un sort qui le projeta plus loin. Sarah se retient de courir voir comment il allait, ayant bien vu que son père s’était retenu. Mais contrairement à Drago qui avait espéré ne pas en avoir à en arrivé là, elle avait prévu sa baguette et la sortie de sa manche.

     

    Sarah : « Je vous interdis de lui faire du mal »

    Lucius : « Vous n’êtes pas en droit de m’interdire quoi que ce soit, surtout par rapport à mon fils… »

     

    Il lui envoya un sort qu’elle bloqua d’un vif mouvement de baguette.

     

    Lucius : « Vous n’êtes pas en mesure de vous battre contre moi »

    Sarah : « Vous ne me connaissez pas »

     

    Elle envoya un sort à son tour qu’il réussit à bloquer, mais il pouvait sentir qu’elle n’était pas impuissante.

     

    Lucius : « Si vous continuez à cela, vous n’en sortirez pas indemne »

    Sarah : « Vous avez commencé. Et je me bâterais, jusqu’au bout »

    Lucius : « Vous allez lâchement perdre »

    Sarah : « Je gagnerais ou mourais »

     

    Mourir. Pourquoi cette image lui fit un bond des années plus tôt ? Pourquoi il se revoyait non loin d’une maison qu’il connaissait bien, qu’il revoyait cette agitation, qu’il se sentait suffoquer de nouveau. Drago s’était relevé et il vit le bras de son père trembler, son regard se faire fuyant et ses lèvres bouger comme s’il cherchait à dire quelque chose.

     

    Drago : « Père »

     

    La voix de son fils le tira de cette soudaine torpeur et il se redressa, laissant son bras retomber le long de son corps. Il ne put que les observer, là, l’un à côté de l’autre et éprouver une jalousie pour son propre fils.

     

    Lucius : « De… De quelle famille venez-vous ? »

     

    La jeune femme tenta de se détendre, inquiète de l’avoir vu si soudainement sombrer comme un mauvais souvenir qui l’avait happé.

     

    Sarah : « D’une bonne famille si cela vous inquiètes tant »

    Lucius : « Votre nom »

     

    Drago se crispa et posa sa main contre le bras de sa douce pour l’an dissuader, mais elle ne voulait pas se cacher.

     

    Sarah : « Jones »

     

    Il s’apprêta à répliquer mais son visage laissa place à de la frayeur, comme si un fantôme venait de passer devant lui. Il se revoyait en 6ème année. Il se revoyait, à Poudlard. Il la revoyait, venir droit vers eux. Vers lui.

     

    Lucius : « Et vous êtes ? »

    Nefry : « Nefry Jones, je suis nouvelle »

     

    Sa main libre vient passer sur son visage alors qu’il recula de deux pas, comme sonné

     

    Lucius : « J… Jones ? »

    Drago : « Père ? »

     

    Il inspira profondément, tentant de se calmer.

     

    Lucius : « Les Jones ne sont pas des sangs purs ! Comment avez-vous pu mentir à mon fils de la sorte ?! »

     

    Il pointa de nouveau sa baguette vers la jeune femme lançant un sort qu’elle réussit à rejeter in extrémiste. Drago sursauta à son relent de rage soudain, tiquant sur ce « les », comme s’il avait put connaitre plusieurs personnes de cette famille.

     

    Sarah : « Je ne lui ai jamais menti ! »

     

    Il tourna aussitôt son regard vers son fils.

     

    Lucius : « Alors tu savais… Pourquoi m’avoir fait croire qu’elle avait étudié à Durmstrang ?! Tu savais que je découvrirais la vérité ! »

    Sarah : « J’ai étudié à Durmstrang »

     

    S’empressa-t-elle de répondre, s’attirant de nouveau le regard menaçant de celui qui devait être son futur beau père.

     

    Lucius : « Ce n’est pas possible. Ils n’acceptent pas les sangs-mêlés ! »

    Sarah : « Les Jones sont de sang purs ! »

     

    Cette nouvelle fit manquer un battement à son cœur.

     

    Lucius : « Vous… Vous mentez »

    Sarah : « Non »

     

    Nefry : « Et bien sache que tu peux partir dès maintenant ! Je ne suis pas une sang-pure ! »

    Lucius : « Mais tes grands parents ? »

    Nefry : « Ils ont chacun épousé un moldu »

     

    Il se secoua nerveusement la tête, grimaçant sous la douleur que lui procurait la situation et ses souvenirs.

     

    Lucius : « Vous mentez ! »

    Sarah : « Vous n’avez quoi mieux vous renseigner ! »

    Lucius : « Il… Il y a-t-il d’autre famille Jones ? »

    Sarah : « Pas en sorcier »

     

    Drago s’inquiéta de voir son père aussi abattu, le regard luisant un peu plus à chaque instant de peine. Il finit par vaciller et s’assoir dans le fauteuil.

     

    Lucius : « Elle m’a mentit.. »

     

    Murmura-t-il pour lui-même.

     

    Drago : « Qui père ? »

     

    Il releva aussitôt son attention vers la jeune femme.

     

    Lucius : « Vos parents ? »

    Sarah : « Ma mère se nomme Emilie Jones »

    Lucius : « E… Emilie ? »

     

    Il se releva soudainement,  saisit par un nouvel élan. Il ne lui fallut pas plus d’un regard de bas en haut pour comprendre.

     

    Lucius : « Rogue ? »

     

    La jeune femme hocha timidement du visage.

     

    Lucius : « Ils ont eut… »

     

    Réalisant, il tourna son attention vers son fils, qui hocha de la tête.

     

    Drago : « Il l’a apprit qu’il y a peu et c’est ce qu’il voulait t’annoncer »

     

    Lucius reposa son attention sur la jeune femme, la détaillant plus longuement.

     

    Lucius : « Oui… Vous leurs ressemblez »

    Drago : « Père »

     

    Souffla-t-il en venant se coller à la jeune femme et glisser sa main dans la sienne.

     

    Drago : « Bien que je comptes m’unir à elle avec ou sans ta bénédiction… J’aimerais quand même que tu acceptes »

    Lucius : « Laissez nous seuls un moment, mademoiselle Jones »

     

    Hésitant, elle finit par quitter la main de son aimé pour monter à l’étage. Tendant l’oreille, il attendit de ne plus l’entendre bouger pour reposer son attention sur son fils.

     

    Lucius : « Tu l’aimes sincèrement ? »

     

    Drago se sentait fébrile, comme quand il était enfant et observait son père, désirant le rendre fier et se laissant envahir par la peur de le décevoir.

     

    Drago : « Oui. Je ne pensais pas connaitre ça un jour  »

     

    Sa baguette rangée depuis plusieurs minutes maintenant, il posa lourdement sa main libre sur l’épaule de son fils, avant de venir la porter, un peu brusquement par le manque d’habitude,  contre sa joue.

     

    Lucius : « Mon fils »

     

    Il le tira soudainement contre lui et le serra avec force. Peut-être trop. Manquant de l’étouffer sous cette soudaine vague de tendresse et émotion qu’il ne semblait réussit à contrôler. Mais Drago, dérouté par la scène et le cœur battant d’un enfant au matin de noël s’agrippa à lui comme s’il s’agrippait à quelque chose qu’il n’aurait jamais imaginé avoir. Sans aucun d’eux ne le remarque, la jeune femme était redescendu avec dans la main un cadeau que sa mère lui avait offert la veille de son départ d’Island. Un appareil photo, discrètement, elle prit les deux hommes pour retenir cet instant puis se tapis dans le couloir de l’escalier.

     

    Lucius finit par le lâcher, aussi soudainement qu’il l’avait attrapé comme honteux de son geste.

     

    Lucius : « Rogue est… Est un puissant sorcier et… Et sa mère et une sang-pure… C’est comme s’il l’était aussi… »

     

    Drago avait tenté de reprendre ses esprits et observait là son père qui cherchait à contourner cette histoire de pureté sanguine. Avaient-ils donc son approbation ?

     

    Lucius : « Je vais rentrer »

     

    Et sans plus de cérémonie, il tourna les talons et quitta la maison. Sarah finit par venir vers son aimé et lui caressa la joue, le ramenant à la réalité.

     

    Drago : « Je… Je crois qu’il est d’accord »

     

    Touchée, elle lui adressa un sourire et prit dans l’euphorie, ils échangèrent plusieurs baisers. Cependant, la rudesse de l’émoi qui avait prit la pièce lui revient. Jamais il n’avait vu ou n’aurait-pu imaginer son père ainsi. Très inquiet, il s’excusa au près de sa douce et monta rapidement au bureau pour écrire une lettre et l’envoyer à son parrain.

     

    Sarah : « Tu veux aller le voir ? »

    Drago : « Je ne saurais pas comment l’aider »

     

    Avoua-t-il timidement avant de venir la prendre dans ses bras.

     

    Severus reçu le courrier et s’inquiéta lui aussi rapidement. Sans plus attendre il alla se montrer au manoir des Malfoy. A peine toqua-t-il que la servante, tremblante de peur, se montra. Severus entra et fila droit vers le salon.

     

    Narcissa : « Alors tu l’as rencontré ? »

    Lucius : « Oui »

    Narcissa : « Et c’est tout ?! Tu ne l’as pas faite partir »

    Lucius : « Non »

    Narcissa : « Je vais la faire dégager moi ! »

    Lucius : « Narcissa ! »

     

    Elle se stoppa non seulement à la voix menaçante de son mari mais aussi à la présence de Rogue. Elle le menaça de son regard et Lucius soupira lourdement.

     

    Lucius : « Severus »

    Severus : « J’ai cru comprendre qu’il y avait un problème »

    Narcissa : « Un problème ?! Oui et un énorme ! »

    Lucius : « Arrête »

    Narcissa : « Non ! Drago s’est entiché d’une gargouille ! »

     

    Le regard du maitre des potions se durcit, ce qu’elle ne réalisa, ayant tourné son attention vers son mari en pestant sa phrase.

     

    Narcissa : « Comment peux-tu laisser ton fils au bras d’une telle vermine ?! »

    Lucius : « C’est justement mon fils ! »

     

    Siffla-t-il en s’approchant.

     

    Narcissa : « Il doit épouser Astoria et par Merlin, il l’épousera ! »

     

    N’en pouvant plus, il lui saisit le bras et la tira avec rudesse vers le centre du salon.

     

    Lucius : « Je t’interdis de t’en mêler »

    Narcissa : « C’est mon fils, et je veux le meilleur pour lui ! »

    Lucius : « Moi aussi ! Et il épousera cette fille ! »

    Narcissa : « Comment oses-tu ?! Ce n’est qu’une parasite qui lui pourrira la vie »

     

    Excédé, la main de Lucius se leva, fendant l’air et claquant la joue de sa femme qui en tomba par terre. Jamais il n’avait levé la main sur elle, jamais. Mais il était dans une telle fureur que même Rogue en resta quelque peu estomaqué. Lucius vient vers elle et la releva en lui saisissant le col de sa tenue et lui pestant au visage.

     

    Lucius : « J’ai décidé qu’il l’épousera. Il l’épousera »

     

    Sonnée, une main sur sa joue endolorie et le regard luisant de larme, elle observa cet homme qui la lâcha.

     

    Narcissa : « Qui est-ce ? »

     

    Lucius inspira profondément pour tenter de se calmer.

     

    Lucius : « Sarah Jones »

    Narcissa : « Jones ? Jones ?! De la famille de cette trainée ?! »

     

    Severus sentit une décharge électrique l’envahir qu’il tenta de se contenir en se rappelant qu’elle ne connaissait Emilie.

     

    Lucius : « Je t’interdis »

    Narcissa : « Je ne dis que ce qui est ! C’était une trainé ! Elle t’a totalement ensorceler ! »

     

    Le maitre des potions eut là la confirmation qu’il ne s’agissait pas d’Emilie. Mais alors qui ?

     

    Lucius : « Arrêtes ! »

    Narcissa : « Elle t’avait empoisonné ! Si je n’avais pas demandé à Bel »

     

    Elle se tue aussitôt, comprenant qu’elle venait de trop en dire. Un air glacial tomba dans la pièce.

     

    Lucius : « Qu’est ce que tu as fais ? »

     

    Il s’approcha rapidement d’elle, répétant en hurlant sa question. Rogue bondit pour le retenir tandis que Narcissa avait rapidement reculé de peur.

     

    Severus : « Lucius, reprends toi »

    Lucius : « C’est toi qui l’a tué !!! C’est toi !!! »

     

    Hurla-t-il de douleur, essayant de pousser son ami avec force mais il s’était agrippé à lui.

     

    Severus : « Partez »

     

    Il tourna son visage vers celle à qui il adressait cet ordre sans une once de pitié, ayant lui-même un regard menaçant.

     

    Severus : « Partez ! »

     

    Mais il n’allait pas laisser son ami la tuer et finir en prison. La femme partit en courant et Lucius s’écroula dans les bras du sombre sorcier. Cette peine qu’il n’avait jamais vraiment réussit à extérioriser sortait enfin. Il serrait ses doigts dans ses vêtements, hurlant à la mort contre son épaule et tremblant de panique. Le sorcier n’était au courant de cette histoire comme tout le monde et quelques détails lui échappaient encore.

     

    Cependant il était certainement la personne la plus à même de comprendre ce qu’il ressentait. Même si heureusement Emilie ne lui avait pas été ôté si durement, il connaissait la douleur de la séparation.

     

    Après de longues minutes, Lucius réussit à retrouver son calme. Severus le guida vers le canapé pour qu’il s’asseye et il ordonna à la servante de préparer un thé.

     

    Lucius : « C’était sa sœur »

     

    Dit-il d’une voix enrayé. Severus abaissa son regard sur lui et finit par s’assoir à côté de lui. Lui qui lui contait. Tout. Absolument tout. Sa rencontre. Son envie de la soumettre. Son attachement. Ses sentiments. La menace de Voldemort. Son mensonge sur son sang. Il était prêt à l’épouser même si elle n’était pas de sang pur. Et puis son mariage avec Narcissa. Cette sensation d’être enchainé. Mécanisé. La naissance de son fils. Son envie d’illusion d’imaginer que c’était celui qu’il aurait du avoir avec elle. Il lui avoua sa jalousie en voyant Rogue heureux. Sa peur en apprenant que c’était sa sœur. Puis la peur que l’histoire se répète lorsque les soupçons avaient commencé.

     

    Lucius : « Je t’ai prévenu pour pas que tu subisses la même chose »

     

    Souffla-t-il timidement.

     

    La servante apporta le thé qu’elle posa sur la table et il soupira aussi lourdement que si qu’on venait de le lui arracher du plomb qui lui pesait dans la poitrine. Un long silence prit place tandis que Severus assimilait ce qu’il venait de lui conter, comprenant par quoi il était passé et ce qu’il avait dissimulé tout ce temps. Le blond finit par tourner son regard vitreux vers lui.

     

    Lucius : « T’as une fille ravissante »

     

    Cette phrase le ramena à lui et il se racla la gorge, gêné. Il se pencha pour remplir une tasse qu’il lui tendit avant de s’en prendre une. Boire chaud leur ferait du bien.

     

    Severus : « J’ai loupé beaucoup de chose »

    Lucius : « Mais elles sont en vie, toutes deux. Maintenant, tu peux en profiter »

     

    Dit-il en venant poser une main amicale sur son épaule.

     

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